La Kumparin

La Triple Autorité Du Kumparin

Préambule Étymologique

Ce texte explore la transformation intérieure face à la douleur et à l’adversité, en mettant en avant la philosophie du parināma, une pratique d’acceptation et de transformation. 

La douleur, initialement perçue comme une prison, devient un passage, une opportunité de métamorphose. La métaphore de la colonne vertébrale, ou kumbha, symbolise la mémoire collective et individuelle, portant les cicatrices et les expériences qui forgent notre identité.

La solidarité, incarnée par le concept de compare, souligne l’importance de l’entraide et du partage dans la résilience humaine. La construction d’un pont, malgré la douleur, représente l’acte de bâtir sa propre vie, de donner un sens à la souffrance en la transformant en force. 

Ma philosophie insiste sur le fait que la véritable sagesse ne consiste pas à expliquer le monde, mais à le rendre habitable, en cultivant la capacité à se réinventer et à continuer malgré l’absurde.

La transmission de l’héritage familial, notamment par la figure de la grand-mère, souligne l’importance des mots, de la poésie et du témoignage comme moyens de transformation. 

En somme, le texte invite à voir la douleur non comme une fin, mais comme un passage vers une nouvelle compréhension de soi et du monde; en valorisant la résilience, la solidarité et la capacité à transformer le plomb du vécu en or du récit.

Sang-d’Encre